Addiction au smartphone : la nomophobie vue par Groland

Ça ressemble à quoi un nomophobe en manque ? Groland nous dresse le portrait d'un homme perdu sans son téléphone mobile et qui se voit privé de tout un tas d'usages plus ou moins indispensables.

C’est quoi la nomophobie ? Utilisateurs de téléphones mobiles, sachez que cet état fait référence à toutes ces personnes qui sont prises d’une soudaine peur panique dès lors qu’elles sont privées de leur compagnon numérique. Groland, mené d’une main de maître depuis près de 20 ans par Jules-Édouard Moustic, l’illustre à sa manière.

nomophobie

On peut y voir un homme perdu sans son téléphone mobile qu’il a oublié chez sa sœur. Mais on peut aussi y entendre toutes ces choses qu’il aurait pu faire avec son téléphone mobile. L‘énumération débute alors de manière raisonnable mais dévie très vite vers des usages, vous en conviendrez, pas forcément indispensables.

« Quel temps fait-il à Calcutta ? », « « Émile Zola était-il gaucher ? », « Qui vend des coquetiers en bois dans son quartier ? », « Comment dit-on merde en suédois ? »… bref, un joli clin d‘œil à tous ces nouveaux usages et applications plus ou moins utiles et qui se sont d’abord invités sur l‘écran de notre smartphone, puis dans notre quotidien.

Selon une enquête menée par Kaspersky Lab et que nous vous rapportions en juin dernier, 20% des Français avouent avoir besoin de son téléphone portable au moment de se coucher. Un « symptôme » assez probant d’une nomophobie avancée.

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Si vous voulez en avoir le cœur net, nous ne saurions que trop vous recommander d‘évaluer votre degré de dépendance à votre téléphone mobile (quiz gratuit en 10 questions et sans inscription).

Publié Le 03/03/2013 à 09:47 par



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