Tomorrow - Do it : agenda multi-plateformes
Do it (Tomorrow) est l’outil idéal pour les procrastinateurs, comprenez ceux qui remettent toujours à demain ce qu’ils doivent faire aujourd’hui. Cet agenda se décline en plusieurs versions.
Disponible sous la forme d’un service en ligne, on peut aussi l’utiliser sur mobile avec des applications pour Android, iPhone et iPad. À l’exeption de cette dernière, toutes sont gratuites.
Une extension pour Chrome est aussi proposée par l’éditeur.
L’interface
Elle est simple et plutôt agréable à regarder. Une bonne chose si vous devez y passer du temps pour y stocker les petites choses (ou les tâches importantes) de votre quotidien. L’environnement est le même sur l’ensemble des versions de l’outil.
On retrouve un carnet de notes, tout ce qu’il y a de plus basique. Les adeptes du skeuomorphisme vont adorer, les autres passeront certainement leur chemin.
Les notes sont inscrites en écriture manuscrite. Une option vous permet toutefois d’opter pour une écriture standard.
En mode procrastination
Seuls 2 jours sont afficher dans cet agenda virtuel : aujourd’hui et demain. Vous avez compris le principe : ce que vous ne pouvez voulez pas faire à la date du jour, vous pourrez facilement le reporter au lendemain en cliquant sur l’option à droite de chaque tâche. Pour les plus courageux, ça fonctionne aussi dans l’autre sens.
L’éditeur n’évoque aucune limite de reports de tâches, ce qui vous permettra de procrastiner à plus soif.
Quelques options intéressantes
Si vous n’êtes pas à 4,95 dollars près, vous allez pouvoir synchroniser les tâches de Tomorrow avec le gestionnaire de tâches de Google (celui disponible sur Gmail et Google Agenda).
De plus, les utilisateurs de versions mobiles ou du module pour Chrome pourront afficher sur l’icône du programme un badge numéroté correspondant au nombre de tâches à réaliser dans la journée.
Quelques images de la version pour iPhone (gratuite) :
Chargement du diaporama en cours…
Les sons des pages qui se tournent et autres « bruitages » ne sont pas toujours les bienvenus. Ils sont facilement désactivables, du moins sur les versions mobiles.
Publié Le 04/04/2014 à 16:12 par Frédéric Santos