Revue de Presse - page 22
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Comme ça les articles seront regroupés
Salut,
<< Un pan d’histoire médiévale ressurgit
Depuis hier, les amateurs d’art médiéval peuvent redécouvrir la peinture murale de l’égliseNotre- Dame- du- Taur, datant du XIVe siècle. Dix mois de travail, échelonnés sur trois années, ont redonné des couleurs à cette fresque représentant la généalogie de Jacob. Dans les années 1980, cette peinture a été victime d’unemauvaise restauration, à l’origine d’un noircissement.
Ce style de peinture est unique dans la ville.
F. SCHEIBER / 20 MINUTES>>
Copyright 20 Minutes France 14/12/2004
<< Les locataires devront contribuer aux travaux d\'économie d\'énergie
Principe né lors du Grenelle de l’environnement, les locataires vont devoir mettre la main au portefeuille afin de contribuer au financement des travaux d’économies d’énergie engagés par les propriétaires.
Mais les associations s\'élèvent déjà contre cette mesure. Détails.
Les locataires vont devoir contribuer au financement des travaux d\'économies d\'énergie engagés par le propriétaire de leur logement.
En effet, le gouvernement vient de décider du mécanisme de répartition, entre propriétaires et locataires, des dépenses des travaux d\'économies d\'énergie dans les logements anciens.
Ainsi ce dispositif, adopté lors de la loi Boutin sur le logement, prévoit que le bailleur, privé ou social, puisse faire supporter au locataire une partie des travaux d\'économie d\'énergie. Ce principe permettra au bailleur de faire figurer sur la quittance de loyer un forfait supplémentaire de 20 euros par mois ou un montant qui ne pourra excéder la moitié des économies de charges réalisées suite à ces travaux.
«Un dispositif gagnant-gagnant»
De son côté, Jean Louis Borloo, ministre d’État, ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer considère «que ce dispositif est un dispositif gagnant/gagnant», et ajoute que «cette mesure concrète qui s’inscrit pleinement dans le cadre du Grenelle de l’Environnement permettra d’améliorer sensiblement la qualité de vie des locataires».
Réactions
Mais de nombreuses associations de locataires se sont pourtant exprimées contre cette décision. Même s’ils ne sont pas totalement «contre le principe» d’un partage des dépenses, ils exigent que ces dépenses supplémentaires pour le locataire puissent être intégrées dans les crédits d\'impôts et dans le calcul des aides personnelles au logement. En outre, les locataires pourront toujours refuser de laisser faire les travaux dans la partie dite privative de leur logement pendant le bail, mais ils ne pourront pas s\'opposer aux travaux pour les parties communes.
(16/07/2009)>>
www.batiactu.com/edito/les-locataires-devront-contribuer-aux-travaux-d-ec-23663.php
<< Ascenseurs : une solution pour pallier l’immobilisation
Le bureau d’études en ascenseur Exxeco travaille désormais en relation directe avec M&D, une association spécialisée dans les services à la personne. Un partenariat inédit dont l’objectif est de « limiter les désagréments liés à la mise aux normes et aux travaux d’ascenseurs ». Explications.
Dans certains immeubles, quand un ascenseur s’arrête, c’est la vie qui s’arrête. Conscient du problème que peut poser l’immobilisation d’un ascenseur, le bureau d’études Exxeco a décidé d’y remédier en mettant désormais en relation les résidents d’immeubles avec une structure spécialisée dans les services à la personne, l’association M&D. Une idée qui n’est pas nouvelle, puisque certains bailleurs sociaux proposent déjà une aide de ce type aux habitants en cas de panne, mais qui n’avait jamais été concrétisée dans le parc privé. "Nous avions beau prévenir les résidents de l’immeuble plusieurs mois avant le début des travaux, cela ne changeait rien, explique Virginie Bancel, responsable du projet chez Exxeco. Le jour de l’immobilisation, les personnes âgées, surtout celles qui ont du mal à se déplacer, se retrouvaient coincées chez elles".
Un constat dramatique qui n’avait également pas échappé à Michel Mazet, directeur de M&D : "jusqu’ici, les copropriétaires se débrouillaient avec les moyens du bord, commente-t-il, certains réclamaient de l’aide à leurs voisins, d’autres étaient hébergés dans de la famille... Des solutions bien loin d’être satisfaisantes". Une anecdote lui revient en tête : l’été dernier, il se rappelle qu’une dame de 94 ans dont l’ascenseur était en panne, est restée bloquée chez elle pendant un mois sans pouvoir sortir.
"Faire que la vie continue..."
Pour honorer ce partenariat, l’association M&D a donc été obligée de revoir la carte de ses services. Désormais, en plus d’un accompagnement à domicile avec une auxiliaire de vie, elle propose également d’accomplir ponctuellement toutes sortes de missions pour ses clients : aller chercher le journal, le pain, des médicaments à la pharmacie, sortir un animal, relever le courrier... Des services qui ne mobilisent parfois les salariés que quelques minutes et qui sont facturés à partir de 1,50 €. "Le but est de faire que la vie continue le plus normalement possible pour toutes ces personnes", commente Michel Mazet.
L’association s’attend à un pic de demandes à partir de septembre, date à partir de laquelle entre 50 et 60 immeubles entreront en travaux par mois pour être mis aux normes. Travaux que les propriétaires doivent, rappelons-le, avoir effectués avant le 31 décembre 2010.
C.Chahi (30/07/2009)>>
www.batiactu.com/edito/ascenseurs---une-solution-pour-pallier-l-immobilis-23789.php
<< Viaduc de la Savoureuse, un ouvrage d’exception (diaporama)
Des 198 ouvrages d’art qui composent la nouvelle ligne à grande vitesse Rhin Rhône, le viaduc de la Savoureuse, en est le plus remarquable, tant en taille, qu’en élégance. Situé à proximité de Belfort, l’ouvrage franchit la rivière «la Savoureuse», l’A36, le canal de la Haute Saône et la RN 437. Visite.
Parmi les 198 ouvrages, ponts et viaducs, qui «s\'égrènent» le long des 140 km de la nouvelle ligne à grande vitesse Rhin Rhône, le viaduc de la Savoureuse est l’ouvrage le plus long avec ses 792 mètres.
Il est composé de 11 piles en forme de tétrapodes (comme quatre doigts ouverts) soutenant un tablier élancé offrant une transparence et des perspectives qui sont les bienvenues dans cette zone semi-urbaine dense, et à quelques kilomètres au sud de Belfort.
Les travaux ont commencé en mai 2007 pour une fin de chantier prévue en 2010 avec l’installation des équipements ferroviaires… et une ouverture de ligne début 2011. Cinq lançages de tronçons ont été nécessaires pour créer cet ouvrage sur lequel pourront circuler deux TGV en sens inverse et à 350 km/h ! Le dernier ayant été programmé fin juillet 2009.
De grandes exigences
Les contraintes liées aux spécificités ferroviaires, la recherche de confort du voyageur et la sécurité dans des conditions d’exploitation à très grande vitesse, induisent, une géométrie du tracé avec des courbes et des pentes limitées. De plus, la rigidité structurelle est nécessaire pour éviter toute déformation au passage du convoi et assurer une parfaite liaison entre les rails et les roues du train.
En outre, les variations thermiques induisent des dilatations à prendre en compte au niveau du dimensionnement. Ces exigences associées aux charges importantes des convois ferroviaires conduisent généralement à réaliser des ouvrages d’art massifs…
Ainsi afin d’insérer au mieux le viaduc de la Savoureuse dans le tissu déjà dense de la vallée et pour enrayer le paysage, l’architecte Sébastien Ricard, directeur associé de Wilkinson-Eyre, a cherché à créer un tablier aussi fin que possible en choisissant l’acier. Il a par ailleurs conçu des piles tétrapodes munies de «bras» en acier.
792 mètres de long
L’ouvrage se compose donc d’une succession de portiques à ossature mixte d’une longueur constante et volontairement courte (66 m) pour réduire la hauteur du tablier. Compte tenu de la courbure du tracé et de sa longueur, il n’était pas possible d’utiliser les joints de dilatation usuels permettant d’adopter une structure continue sur appuis. De ce fait, les portiques sont indépendants les uns des autres. Ils se composent d’une travée courte de 21 m encastrée sur les béquilles, et d’une travée isostatique de 45 m reposant sur les précédentes au moyen d’appuis sphériques qui en permettent les déplacements longitudinaux et les rotations.
La rigidité longitudinale du tablier est assurée par des poutres en acier de type RAPL hautes de 4 m qui adoptent une section ouverte en C. Elles intègrent un mur anti-bruit.
La section transversale se compose de pièces de pont (PRS) connectées à une dalle fine en poutrelles enrobées de type HEA.
Régulièrement espacées, les 11 piles courantes brandissent leur quatre bras en acier ancrés dans un socle en béton. Si ces béquilles ont une hauteur constante, le socle s’adapte aux ondulations du terrain naturel. L’ancrage des bras sur l’embase est réalisé au travers d’une platine en acier à haute performance (S460) de 100 mm d’épaisseur, solidarisée au massif en béton grâce à quinze barres de précontrainte (M76).
Principe de construction
Les béquilles et les poutres latérales sont préfabriquées et revêtues en usine de deux couches de peinture anticorrosion. Une fois livrées sur le site, les poutres latérales sont assemblées bout à bout sur une plateforme située à l’arrière de la culée Est. Cette dernière permet de souder jusqu’à 10 tronçons du tablier. L’assemblage continue par le soudage des pièces de pont et puis la mise en place des poutrelles, enrobées par bétonnage. La dernière couche de peinture est alors effectuée avant lançage.
Le tablier est ensuite poussé sur les piles au moyen de vérins avaleurs de câbles. La mise en œuvre s’appuie sur des palées provisoires qui transfèrent les charges verticales sur les fondations. Durant le lançage, le tablier glisse sur des patins en téflon. Puis, en fin d’installation, les tronçons correspondant aux travées isostatiques, temporairement soudés pour en permettre le lançage, seront alors désolidarisés pour redonner à l’ouvrage le comportement structurel recherché.
Fiche technique du chantier
Maîtrise d’ouvrage : Réseau Ferré de France
Maîtrise d\'œuvre : SETEC et Jean Muller international, mandataire
Architecture : Wilkinson-Eyre Architects Ltd (Sébastien Ricard, architecte associé)
Structure : Coredia (béton)
Construction/réalisation : SNCF Igoa (acier)
Charpente métallique : Eiffel Construction Métallique (mandataire)
Génie civil : Eiffage TP
Fondations : Spie Fondations
Terrassements : Forézienne d’entreprises
Coût des travaux : 52 millions d\'euros HT
Délai global : 30 mois
Aude Moutarlier (26/08/2009) >>
www.batiactu.com/edito/viaduc-de-la-savoureuse-un-ouvrage-d-exception--di-23792.php
<< Quatre ans pour sauvegarder le lido (diaporama)
Erosion de la plage, dégradation du cordon dunaire, fréquentation anarchique du site… le lido de Sète à Marseillan (34) était fortement menacé. Thau Agglomération a donc décidé de réagir pour protéger ce site avec le lancement d’un programme de sauvegarde. Engagé en 2007, pour un montant total de 50 millions d’euros ce chantier prendra fin en 2011.
Le lido est une bande de sable qui s’étire entre la Méditerranéen et l’étang de Thau sur une douzaine de kilomètres de long et moins de deux de large. Mais cet écosystème unique et ouvert à tous n’a jamais été aussi menacé.
En effet, soumise aux assauts répétés de la houle et des vagues, cette étroite bande de terre et de sable voit sa superficie diminuer d’un hectare tous les ans. Et si rien n’est fait pour enrayer ce phénomène naturel, certains spécialistes estiment que le lido pourrait bien disparaître à l’horizon de 2020. Thau Agglomération a donc décidé de lancer une opération destinée à lutter contre l’érosion de la plage et à protéger par là même les activités économiques liées au site (conchyliculture et petits métiers de la mer, viticulture et tourisme). Ces travaux démarrés en 2007 et s’achèveront en 2011, consistent donc, entre autres, à élargir de plus de 70 mètres la plage. En effet, plus large, cette dernière va pouvoir à nouveau jouer son rôle de stabilisateur. Ainsi, en cas de houle, les vagues viendront plus se briser directement sur la route et son enrochement mais seront absorbées par la bande de sable.
La création d’un nouveau cordon dunaire est également prévue. Ce cordon constitue l’une des principales protections de la plage. En le recréant, la nouvelle plage bénéficiera d’une protection supplémentaire contre le vent. Le sable sera ainsi mieux fixé et définitivement stabilisé.
De plus, des modes de circulation avec la création de pistes piétonnes et cyclables et la mise en service d’un système de desserte collective par navettes connectée au réseau de transport urbain seront mis en place.
Les travaux compteront aussi la démolition de l’ancienne route RN112, facteur d’érosion, et la construction d’une nouvelle route littorale loin de la plage de 4 km (vitesse limitée, matériaux recyclés, revêtement respectueux des contraintes environnementales).
Un chantier écologique
La chaussée de cette nouvelle route est écologique. En effet, celle-ci est construite avec des revêtements en enrobés de surface fabriqués à basse température (EBT®) et sa structure provient des matériaux de démolition de la route existante.
Cet EBT® est un procédé exclusif développé dans les laboratoires d’Eiffage Travaux Publics. Fabriqué et appliqué à moins de 100°C (160°C pour un enrobé classique), il est donc source d’économies d’énergie importantes, d’émissions de gaz à effet de serre limitées et de conditions de travail sensiblement améliorées pour les équipes d’application qui œuvrent sur ce chantier. Il offre, par ailleurs, les mêmes propriétés qu’un enrobé traditionnel.
Quant à la piste cyclable, elle est revêtue d’un enrobé à base de liant végétal clair.
De plus, le chantier recycle la plupart des matériaux, la quasi-totalité des deux premiers kilomètres de l’ancienne route ayant pu être réutilisés pour la construction de la nouvelle.
Ainsi tous ces procédés spéciaux s’inscrivent dans la démarche de développement durable engagé par Thau Agglomération sur ce chantier.
Enfin, dans la partie la plus soumise à l’érosion, à l’est, Thau Agglomération doit mettre en place un dispositif de protection complémentaire : atténuateurs de houle et procédé de drainage de la plage, afin de fixer le trait de côte. Ces deux systèmes innovants seront testés sur près de 2 km en 2010.
Fiche technique du chantier
Mandataire et pilote de l’opération : Communauté d’agglomération du Bassin de Thau par les équipes méditerranéennes d’Eiffage Travaux Publics
Maîtrise d’œuvre : groupement d’entreprises réunissant Ingérop, BRL Ingénierie et l’Atelier Alfred Peter (paysagiste)
Volume de sable : 600.000 m3
Nombre de personnes sur le chantier : 150 personnes
Aude Moutarlier (02/09/2009)
www.batiactu.com/edito/quatre-ans-pour-sauvegarder-le-lido--diaporama--23854.php
<< Un tunnelier dans le métro parisien (diaporama)
Le démarrage du creusement du tunnel pour le prolongement de la ligne 12 du métro parisien jusqu\'à la mairie d\'Aubervilliers va bientôt commencer grâce au tunnelier surnommé «Elodie» qui vient d’être réceptionné sur le chantier et baptisé ce lundi.
La ligne 12 du métro parisien (mairie d’Issy-Porte Chapelle) s’apprête à gagner 3,1 km et trois stations entre Paris et Mairie d’Aubervilliers grâce à l’intervention d’un tunnelier. Première étape de ce grand chantier : l’ouverture, en 2012, de la station Proudhon-Gardinoux. Suivra dans une deuxième étape la mise en service en 2013 des stations Pont de Stains et Mairie d’Aubervilliers, qui deviendra le terminus de la ligne. Le métro mettra alors le centre d’Aubervilliers à moins de 10 minutes de la Porte de la Chapelle.
Un tunnelier à l’œuvre
Mais pour l’heure, tous les efforts se concentrent sur le premier tronçon, avec d’importants travaux en perspective : la construction de l’intégralité du tunnel, la réalisation de la première station et des nouveaux accès à la Porte de la Chapelle.
Le creusement du tunnel s’effectuera à partir du mois d’octobre 2009 sur toute la longueur du tracé, soit près de 4 kilomètres entre la Porte de la Chapelle et l’extrémité du tunnel située à la Courneuve.
A 20 mètres sous terre en moyenne, ces travaux sont réalisés par une puissante machine appelée tunnelier. Cette technique de réalisation permet de réduire au minimum le nombre de chantiers le long du tracé, préservant ainsi au mieux la vie des quartiers traversés.
Un géant de 82 mètres de long
Le tunnelier baptisé «Elodie», du nom de sa marraine conductrice sur la ligne 12, a été construit sur mesure en Allemagne par Herrenknecht, transporté en «kit» sur péniche et par convois exceptionnels puis assemblé cet été au puits du canal à Aubervilliers. Conçu spécifiquement pour le projet de prolongement de la ligne 12, il ne se contente pas de creuser une galerie de près de 9 mètres de diamètre, mais comme la plupart des engins de ce type, il soutient aussi dans le même temps les terrains traversés et réalise les parois du tunnel au fur et à mesure de son avancée. Sa vitesse de croisière est en moyenne de 12 mètres par jour.
Ce tunnelier, qui sera piloté par le groupement d’entreprises de travaux «Vinci Construction et Eiffage TP», est composé de deux grandes parties : le bouclier et le train suiveur. Le bouclier est la partie qui va creuser et mettre en place les voussoirs. Il est lui-même séparé en deux parties : la roue de coupe qui creuse et la jupe qui pose les voussoirs et extrait les déblais. Environ 470.000 tonnes de terre seront ainsi excavées par le tunnelier pour réaliser les 3.640 mètres de tunnel.
A l’arrière du bouclier vient le train suiveur, posé sur des rails. Il permet d’acheminer les voussoirs depuis le canal Saint-Denis et de sortir les déblais. Il possède une cabine de pilotage assistée par ordinateur, des pompes hydrauliques, plusieurs moteurs…
Aux commandes de cette énorme machine, 3 équipes de 18 personnes en assurent le bon fonctionnement 24/24h et 5 jours sur 7.
Au cœur d’un quartier modernisé
De son côté, la station de métro Proudhon-Gardinoux sera construite à ciel ouvert. Spacieuse et lumineuse sous sa verrière, elle offrira trois entrées équipées d’escaliers mécaniques ainsi qu’un ascenseur permettant de gagner directement les quais. Située au cœur d’un quartier à terme totalement transformé, la station desservira les nouvelles habitations et les nombreuses entreprises locales.
(08/09/2009)>>
diaporama en suivant le lien :
www.batiactu.com/edito/un-tunnelier-dans-le-metro-parisien--diaporama--23904.php
<< Des TGV reliant des villes du sud aux Alpes en 2014
D’ici à 2014, des lignes TGV devraient relier plusieurs villes du sud de la France à celles des Alpes, selon Réseau Ferré de France (RFF). Montant total des travaux : 450 millions d\'euros.
Actuellement d’importants travaux ont débuté afin de relier Lyon, Valence à des villes comme Grenoble, Chambéry, Annecy mais aussi Genève.
La première étape des travaux a consisté à doubler une partie de la ligne Valence-Grenoble et à créer un échangeur ferroviaire pour permettre aux lignes Lyon-Grenoble et Valence-Grenoble de se croiser. Certaines gares ont également été modernisées.
Entre 2010 et 2014, la deuxième étape sera tournée vers le ralliement des lignes régionales à la ligne à grande vitesse de Valence, où passe le TGV Paris-Marseille. Le montant total des travaux est estimé à environ 450 millions d’euros.
(08/09/2009)>>
www.batiactu.com/edito/des-tgv-reliant-des-villes-du-sud-aux-alpes-en-201-23910.php
<< Une éolienne pour fournir de l\'eau potable
Une société basée près d’Aix-en-Provence a mis au point une éolienne capable de produire de l’eau potable. L’appareil pourrait servir non seulement à alimenter les sites isolés, mais également à améliorer le quotidien des populations les plus défavorisées. Marc Parent, l’inventeur, dévoile son concept
L’éolienne conçue par Marc Parent, autodidacte de 42 ans, est une machine d’un genre nouveau capable, grâce à l’énergie du vent, de capter l’humidité contenue dans l’air et de la transformer en eau potable. «L’éolienne récolte l’énergie du vent pour faire fonctionner un système frigorifique nécessaire à la condensation de l’humidité», explique Marc Parent, son inventeur. «Cette éolienne», résume-t-il, «n’est en fin de compte qu’une machine à faire de la pluie fonctionnant de manière autonome».
Jusqu’à 1.000 litres/24h
Equiper une éolienne d’un système frigorifique, l’idée est venue à Marc Parent il y a plus de dix ans après avoir mis au point chez lui, aux Antilles, un dispositif lui permettant de récupérer l’eau de son climatiseur dans une cuve et d’utiliser ensuite cette eau pour couvrir ses besoins sanitaires. Dans sa tête, c’est le déclic : l’éolienne commence à prendre forme. Malgré une apparence «normale», elle sera non seulement capable de produire de l’énergie mais également - c’est là son caractère novateur - de l’eau potable. L’éolienne aspire l’air ambiant qui est ensuite déshumidifié par condensation. De ce processus physique résulte de l’eau qui doit, avant d’être consommée, être traitée.
Une machine capable de produire de manière complètement autonome et sans émettre de CO2 jusqu’à 1.000 litres/24h ! Le concept pourrait s’avérer extrêmement utile en France pour alimenter les habitations situées dans les zones isolées mais, plus encore, dans les pays en voie de développement qui n’ont pas accès à l’eau potable, notamment en Afrique et au Moyen Orient. «Notre produit pourrait certainement contribuer à améliorer le quotidien des personnes les plus défavorisées», argumente Marc Parent, qui en profite pour rappeler qu’actuellement «plus d’un milliard d’être humains n’ont pas accès à l’eau potable».
Réduire les coûts
Eole Water ©
Après avoir déposé le brevet de son invention en 2001, Marc Parent a fondé sa société, Eole Water en juin 2008. Grâce au soutien de ses sept associés, il est parvenu à mettre au point quatre prototypes de petite puissance (entre 2kW et 30 kW) et de petite taille (jusqu’à 18 mètres de haut seulement). Partout dans le monde, les modèles suscitent un énorme intérêt pourtant, la fabrication n’a toujours pas été lancée... En cause : le prix des éoliennes qui oscille entre 9.900 et 50.000 euros, une somme qu’aucun acheteur n’est pour l’instant prêt à débourser ni sur le marché national ni international.
Seule solution pour Marc Parent : faire baisser les coûts de production. Une mission qu’il compte mener à bien en participant à de nombreux salons à travers le monde, le but étant pour lui de multiplier les contacts avec les industriels. En attendant, c’est en France que les pistes semblent se concrétiser. Une copropriété située au nord de Toulouse s’est en effet récemment dite intéressée pour installer son éolienne dans le cadre d’un projet de rénovation écologique. Reste à voir si elle ira jusqu’au bout de la démarche...
C.Chahi (09/09/2009)>>
www.batiactu.com/edito/une-eolienne-pour-fournir-de-l-eau-potable-23919.php
<< Le tramway d’Angers sur les rails
Eiffage Travaux Publics réalise, en groupement, deux lots de la première ligne de tramway angevine pour un montant total approchant les 40 millions d’euros.
D’un montant total avoisinant les 40 millions d’euros, Eiffage Travaux Publics réalise deux lots de la première ligne de tramway angevine, commandée par Angers Loire Métropole, maître d’ouvrage de ce chantier. Cette future ligne, longue de 12,3 km et qui devrait accueillir 35.000 personnes chaque jour, parcourra l’agglomération sur un axe nord-sud et desservira successivement les communes d’Avrillé et d’Angers.
Composé de 25 stations, elle utilisera dans le centre-ville d’Angers la technologie de l’alimentation électrique par le sol (APS) déjà retenue à Bordeaux. Ce dispositif sans caténaire permettra à la ligne d’être mieux intégrée en cœur de cité, mais impliquera à la société de travaux publics, des dispositions particulières quant aux revêtements de la plate-forme.
Une des particularités de ce chantier réside dans la réalisation du réseau de multitubulaire réalisée à l’aide d’une machine à coffrage glissant mise au point par l’entreprise. Ce matériel présente de multiples avantages et notamment un rendement plus intéressant par rapport à la technique classique de coffrage, et une meilleure protection de l’environnement. En effet, cette technique n’utilise pas de coffrage en bois, ni d’huile de démoulage.
(15/09/2009)>>
www.batiactu.com/edito/le-tramway-d-angers-sur-les-rails-23974.php
<< Une éolienne transformée en attraction touristique
Une éolienne hors-norme vient d’être implantée à Grouse Mountain, une station de ski située sur les hauteurs de la baie de Vancouver, au Canada. Elle est capable non seulement de produire de l’électricité, mais également d’accueillir du public. Une véritable attraction touristique avec, en prime, un point de vue exceptionnel !
La station de ski Grouse Mountain, située sur les hauteurs de Vancouver, au Canada, surfe sur la vague de l’éco-tourisme. Et elle ne fait pas les choses à moitié. Elle a en effet récemment décidé de se doter d’une éolienne. Jusqu’ici rien d’étonnant sauf que l’équipement est non seulement destiné à produire de l’électricité mais également à... accueillir du public ! Une double fonction qui ne pouvait être assumée par les modèles existants. Il a donc fallu imaginer un nouveau concept d’éolienne, une mission délicate à laquelle des Français ont participé !
Vision panoramique
C’est Sigma Composite, une entreprise iséroise spécialisée dans la fabrication de cabines pour remontées mécaniques, qui a dessiné puis fabriqué la plate-forme d’observation destinée à être installée à 64 mètres de hauteur. Au terme de plusieurs mois de recherches, elle a ainsi mis au point une cabine innovante de 7 mètres de diamètre sur 6 mètres de haut et pouvant contenir jusqu’à 40 personnes. \"La structure que nous avons imaginée s’appuie sur les mêmes principes techniques que ceux développés pour les capsules de la grande roue de Londres, explique Françis Charamel, directeur de la société. Pour offrir une bonne qualité de vision, poursuit-il, les panneaux vitrés ont, par exemple, subis une déformation extrême\". Une éolienne pouvant accueillir du public... L’idée est originale, mais n’est pas nouvelle. \"Il existe déjà des structures comparables, mais jamais jusqu’ici, une cabine n’avait été implantée au contact même de la tête de l’éolienne, explique Françis Charamel. Sans oublier, poursuit-il, que la cabine pourra tourner en même temps que la nacelle de l’éolienne\".
A l’intérieur, la cabine présente d\'autres singularités. Pour que les occupants éprouvent la sensation de vide et bénéficient d’une vue plus large, un plancher en verre, similaire à celui de la tour CN à Toronto, a, par exemple, été installé.
Un lieu privatisable
Quelques modifications ont par ailleurs dû être apportées à l’éolienne elle-même : ses fondations ont notamment été redimensionnées de manière à pouvoir supporter le poids de la cabine - environs 15 tonnes. Le mât de l’éolienne, quant à lui, abrite un ascenseur de huit places. Personne ne l’a encore emprunté puisque la cabine, bien qu’elle ait été assemblée sur site au mois d’août, n’a pas encore été greffée sur le pylône. L’opération, qui s’annonce spectaculaire, devrait se faire avant la fin du mois, le but étant que l’éolienne soit opérationnelle pour les Jeux Olympiques d’hiver qui se dérouleront du 12 au 28 février 2010 à Vancouver.
D’ici là, pour la rentabiliser, Grouse Mountain envisage de mettre en location la cabine. Entreprises, particuliers, famille, amis... Le temps d’une soirée, tout le monde pourra ainsi profiter de la vue exceptionnelle sur la baie de Vancouver.
C. Chahi (18/09/2009)>>
Pour découvrir l\'éolienne en images, cliquez ici :
www.batiactu.com/edito/une-eolienne-transformee-en-attraction-touristique-24003.php
<< Un concours international pour la rénovation du Vieux Port de Marseille
Marseille va rénover son Vieux Port notamment à travers le projet de semi-piétonisation du site. Pour cela, la ville devrait prochainement lancer un concours pour désigner un architecte urbaniste et un paysagiste de renommée internationale.
Marseille va lancer un concours international pour son projet de semi-piétonisation du Vieux-Port. Au total, ce sont 25 à 30 millions d\'euros qui devraient être débloqués d’ici à 2012. Si le conseil municipal approuve le projet le 5 octobre prochain, la ville lancera donc un concours qui doit désigner un architecte urbaniste et un paysagiste de renommée internationale. Ce projet d’aménagement entre dans le cadre de la réhabilitation du centre-ville de Marseille. Parmi les projets envisagés pour améliorer ce dernier, on peut citer le prolongement du tramway qui est au cœur de nombreuses discussions entre la mairie et le conseil général.
(21/09/2009)>>
www.batiactu.com/edito/un-concours-international-pour-la-renovation-du-vi-24016.php
<< Message d’un genre nouveau à la SNCF
Désormais, à chaque réservation d’un billet de train sur le site Internet de la SNCF, l’usager se verra informé de l’impact en termes d’émissions de CO2 de son trajet.
Le Président de la SNCF, Guillaume Pepy, a déclaré à la presse que « dès le mois d\'octobre, sur voyages-sncf.com, quand on réserve son billet, on pourra avoir calculé, individuellement, voyage par voyage, quel est l\'impact en CO2 exact de chaque voyage en TGV ou en Teoz », rapporte l’AFP.
L’objectif de la compagnie publique est de « donner la pleine transparence sur l’impact CO2 des transports », a estimé Guillaume Pepy.
« En France, 90% de l\'électricité est nucléaire et par conséquent quand on prend le train, la dépense énergétique est neutre en termes d\'environnement », a-t-il conclu.
Avec AFP (23/09/2009)>>
www.batiactu.com/edito/message-d-un-genre-nouveau-a-la-sncf-24045.php
<< Un centre de conférence organique pour l’Afrique (diaporama)
Le Burkina Faso va se doter d’un centre de conférence composé de trois bâtiments en forme de coupole. A la tête du projet, le cabinet d’architectes Codelfy & Associés qui a choisi de créer un site organique autour de l’eau et de la calebasse, une plante herbacée. Visit
Le futur centre de conférence de Ouagadougou au Burkina Faso sera réalisé par le cabinet Codelfy & Associés. Située à un carrefour stratégique de la ville, la structure sera au centre d’un parc urbain.
Cet établissement composé de trois bâtiments aura pour mission d’être «une vitrine internationale de qualité pour les dirigeants de l’Etat et leurs partenaires étrangers», sans oublier «d’offrir aux habitants et aux visiteurs de la ville de Ouagadougou un espace de détente», soulignent les architectes du projet. Effectivement, afin de dégager un sentiment de bien-être, le complexe joue sur les éléments naturels, le rapport du temps et les repères traditionnels.
Et pour accentuer cet esprit d’harmonie et de confort, l’architecture s\'inscrit dans un esprit organique. Tout d’abord à travers l’utilisation de l’eau qui symbolise le calme, la réflexion mais aussi de la calebasse, une plante herbacée, qui a notamment inspiré les volumes de l’infrastructure.
Un projet ambitieux
D’une capacité de 3.000 places et d’une superficie de 17.800 m2, les bâtiments optent pour la fluidité entraînée par les surfaces courbes. Côté construction, les volumes sont constitués de béton architectonique préfabriqué, perforé ou imprimé sur ses parois par de multiples cercles à double fonction : décoratif et filtre solaire sur la deuxième paroi. La salle de conférence est chapeautée par un grand dôme en membrane textile qui permet de tempérer le bâtiment. Ce projet pharaonique, qui doit voir le jour d’ici à 2012, coûtera près de 17 millions d’euros au maître d’ouvrage, qui n’est autre que le gouvernement burkinabais.
Fiche technique
CAAU Architecte lauréat du concours international en juillet 2009
Projet : Centre International de Grandes Conférences
Lieu : Ouagadougou, Burkina Faso
Maîtrise d’oeuvre : COLDEFY & ASSOCIES ARCHITECTES URBANISTES –
Les membres de l’équipe de projet :
Thomas Coldefy, Bertrand Coldefy, Isabel Van Haute, Laurence Ployaert,
Emmanuelle Maudens, Rodolphe Mazairat
JVC Architecture, Architecte associé
AIC, Architecte associé, correspondant local
Atelier LD, Paysagiste
Superficie : 17 780 m²
Budget prévisionnel: 16.996.952 d’euros
Calendrier prévisionnel : Livraison 2012
(16/09/2009)>>
diaporama en suivant le lien :
www.batiactu.com/edito/un-centre-de-conference-organique-pour-l-afrique---23979.php
Dijon et Brest procèdent à un achat groupé inédit auprès d\'Alstom pour s\'équiper du tramway
fr.biz.yahoo.com/17092009/388/dijon-et-brest-procedent-un-achat-groupe-inedit-aupres-d.html
<< L’Ile-de-France débloque 25 millions d’euros pour le renouvellement urbain
Le conseil régional d\'Ile-de-France va débloquer une enveloppe de 25 millions d’euros afin de soutenir 5 projets de renouvellement urbain.
Le conseil régional d\'Ile-de-France va attribuer une enveloppe de 25 millions d’euros pour 5 projets de renouvellement urbain. Ces projets sont situés à Clichy-sous-Bois/Montfermeil, Clichy-sous-Bois (quartier du Bas Clichy), Les Mureaux, Argenteuil et Grigny/Viry-Châtillon.
Le conseil régional a également décidé de faire un effort particulier pour le quartier du Bas-Clichy en lui délivrant 2,5 millions d\'euros supplémentaires. Cependant, cette aide complémentaire ne sera mobilisable que si l\'Etat donne à l\'ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine) les moyens de financer également cette opération.
La région indique aussi, qu’ «à ce jour, plusieurs opérations sur les 135 sites prévus à l\'origine, ne peuvent toujours pas être engagées en raison du blocage ou du désistement financier de l\'ANRU».
(25/09/2009)>>
www.batiactu.com/edito/l-ile-de-france-debloque-25-millions-d-euros-pour--24069.php
<< Les sénateurs ont repris les discussions du projet de loi Grenelle 2 en s\'attaquant au secteur des transports. Plusieurs modifications ont été apportées notamment à la demande du gouvernement en faveur des véhicules électriques et des péages urbains.
Après quelques jours de pause, les sénateurs ont repris l\'étude du projet de loi Grenelle 2 par le chapitre dédié aux transports. Ils ont ainsi validé plusieurs mesures en faveur du développement des transports collectifs urbains et périurbains en modifiant notamment le code général des collectivités territoriales.
Nouvelles compétences pour les collectivités
Un article obligera désormais le maire à réglementer le stationnement sur les voies publiques empruntés par un transport en commun en site propre (TCSP) afin de faciliter la circulation de ces transports. Pour les communautés de communes ou les communautés d\'agglomérations, l\'article inscrit l\'organisation d\'un service de location de bicyclettes dans leurs compétences optionnelles.
Une autre modification autorise l\'application de la procédure d\'expropriation pour extrême urgence aux projets TCSP. Aux yeux des rapporteurs du projet de loi, \'\'cette disposition devrait permettre de régler certains dossiers épineux et bloqués depuis plusieurs mois\'\'. Actuellement, elle n\'est possible que pour les infrastructures routières, ferroviaires et énergétiques (oléoducs).
À la demande du gouvernement, les sénateurs ont ajouté un nouvel article au projet de loi visant à prendre des dispositions liées au plan de développement des véhicules décarbonés annoncé en octobre 2008. Ce nouvel article donne la possibilité aux communes de créer et d\'entretenir des infrastructures de charge nécessaires à l\'usage de véhicules électriques ou hybrides rechargeables. Les plans de déplacement urbains devront également intégrer un plan d\'implantation des projets d\'infrastructure de recharge.
Le texte rend par ailleurs obligatoire le pré‑équipement de recharge pour certaines catégories de constructions neuves, notamment d\'habitation ainsi que de certains locaux tertiaires à usage de lieux de travail et au profit des salariés.
Bientôt un label pour l\'autopartage
Le projet de loi Grenelle 2 prévoit de donner une définition officielle et juridique à l\'autopartage à savoir \'\'la mise en commun au profit d\'utilisateurs abonnés d\'une flotte de véhicules de transports terrestres à moteur. Chaque abonné peut accéder à un véhicule sans conducteur pour le trajet de son choix et pour une durée limitée\'\'. Un label spécifique pourrait voir le jour prochainement. Les conditions d\'obtention seront fixées par un décret.
Expérimentation des péages urbains
Afin d\'encourager le développement des modes de déplacement alternatifs à la route, les sénateurs ont ajouté une disposition rendant possible l\'expérimentation des péages urbains. Ainsi dans les agglomérations de plus de 300.000 habitants dotées d\'un plan de déplacements urbains et prévoyant la réalisation d\'un transport collectif en site propre, un « péage urbain » pourra être institué à titre expérimental et à la demande de l\'autorité organisatrice des transports urbains. Ces péages ne pourront être institués que pour une durée de trois ans et son montant sera fixé par l\'autorité organisatrice des transports urbains dans la limite d\'un seuil qui sera défini par décret.
Une taxe sur les plus-values immobilières
Le projet de loi Grenelle 2 prévoit également l\'instauration d\'une taxe sur les plus-values immobilières liées à la réalisation d\'une infrastructure de transport collectif. La réalisation d\'une infrastructure de transport collectif s\'accompagne en effet très souvent d\'une forte hausse du prix du foncier à sa proximité. Les sénateurs proposent ainsi de profiter de cette plus-value pour financer les projets de transport prévus dans le cadre du grenelle et dont le coût est évalué à 97 milliards d\'euros.
Cette taxe sera prélevée par les autorités organisatrices de transports urbains (AOTU), l\'Etat ou les régions selon l\'infrastructure de transport concernée. Le périmètre géographique dans lequel la taxe est exigible ne pourra s\'éloigner de plus de 800 mètres d\'une station de transports collectifs urbains ou de 1.500 mètres d\'une entrée de gare ferroviaire.
Les sénateurs ont toutefois exclu la région francilienne compte tenu du prochain projet de loi sur le Grand Paris et des spécificités de la région capitale. Cette taxe sera affectée au budget de l\'AOTU ou de l\'Agence de Financement des Infrastructures de Transport de France (AFIFT) selon les cas.
Des péages autoroutiers modulés en fonction des émissions des véhicules
Les sénateurs ont également validé plusieurs articles du projet de loi visant à transposer la directive du 29 avril 2004 concernant l\'interopérabilité des systèmes de télépéage routier dans l\'Europe et la directive du 17 mai 2006 relative à la taxation des poids lourds pour l\'utilisation de certaines infrastructures (directive eurovignette II). Il s\'agit de développer les péages sans barrière sur les autoroutes et de moduler leur prix en fonction des émissions de gaz à effet de serre. Pour les camions, cette modulation doit être mise en place au plus tard le 1er janvier 2010 ou lors des renouvellements des délégations de service public. Alors que ce n\'était pas prévu dans le projet de loi d\'origine, les sénateurs ont étendu cette modulation aux véhicules particuliers mais en supprimant l\'échéance du 1er janvier 2010. Un décret devra préciser les conditions d\'application de cette mesure.
Réaction nuancée de la part de France Nature Environnement
En réaction à ces modifications, la Fédération France Nature Environnement rappelle que la transposition de la directive Eurovignette est une obligation : \'\'ce n\'est ni une avancée, ni un recul, la France était en retard\'\', explique Céline Mesquida, chargée de mission transports de FNE.
L\'association déplore surtout que les sénateurs ne soient pas allés plus loin : \'\'la directive permet de moduler les péages sur des zones bien spécifiques très sensibles comme les zones de montagne, mais malgré un appui de certains sénateurs, les amendements que nous avions proposés dans ce sens n\'ont pas été retenus\'\', regrette Céline Mesquida.
La Fédération France Nature Environnement juge toutefois positives certaines modifications apportées au projet de loi par les sénateurs et notamment l\'élargissement des péages à tarif modulé pour les véhicules particuliers bien qu\'elle s\'interroge sur l\'utilisation de cette nouvelle recette.
La légalisation \'\'inattendue\'\' des péages urbains préocupe également FNE : \'\'nous n\'avons pas d\'opposition de principe mais le péage urbain n\'est pas l\'unique outil, c\'est une option parmi une palette de solutions, il ne faut pas qu\'il devienne un simple moyen d\'engranger de nouvelles recettes\'\', prévient Céline Mesquida. De même, l\'association ne s\'oppose pas à la diffusion des infrastructures de recharge pour les véhicules électriques et hybrides car \'\'la voiture électrique peur s\'avérer pertinente pour certains usages\'\' mais n\'approuve pas la volonté du gouvernement de diffuser à grande échelle ces véhicules.
F.ROUSSEL
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<< Modernisation de 22 tunnels franciliens
Après une série d’incendie aux conséquences dramatiques survenue en Europe dans les tunnels routiers dans les années 1990, la réglementation relative à ces ouvrages a été renforcée et un important programme de modernisation vient d’être présenté par la préfecture et la direction des routes d’Ile-de-France.
Plusieurs innovations destinées à renforcer la sécurité des vingt-deux tunnels de la région parisienne ont été présentées jeudi matin à Antony (92) par la préfecture et la direction des routes d\'Ile-de-France.
Ce plan de modernisation, qui répond notamment à des normes européennes plus strictes adoptées après l\'incendie du tunnel du Mont-Blanc en 1999 (39 morts), prévoit un montant estimé à 600 millions d\'euros d\'investissements de l\'Etat sur les cinq prochaines années. Le programme comporte 22 tunnels allant de 400 mètres à plus de 5.000 mètres, majoritairement situés en petite couronne. A quelques rares exceptions, tous ces ouvrages sont constitués de tranchée couverte et donc enterrés à de faibles profondeurs.
600 millions de travaux pour 22 tunnels
Les travaux consistent donc à mettre en place des équipements dans chaque tunnel tels que la pose de caméras, de barrières télécommandées, de sursignalisation lumineuse et sonore pour les issues de secours et à une sécurisation des communications à l’intérieur des tunnels. Certains chantiers comme celui de Nanterre-La Défense, de Neuilly, d’Antony, de Lumen sont déjà en cours d’achèvement. Les travaux comprennent également l’intervention sur la structure de l’ouvrage avec la création de nouvelles issues de secours, le renforcement de la tenue au feu des parois et le redimensionnement des systèmes de ventilation. Ces travaux commenceront au premier trimestre 2010 avec les tunnels de Champigny (94) et du Landy (93).
«A l\'issue des travaux, nous aurons les tunnels les plus modernes d\'Europe», a assuré le ministre de la Relance et président du conseil général des Hauts-de-Seine, Patrick Devedjian. En effet, parmi les nouveautés annoncées, un système d\' «auto-évacuation» des automobilistes en cas d\'incendie, par le biais d\'une sirène de 110 décibels et de signaux visuels, sera installé dans tous les tunnels, ainsi que des caméras dites «intelligentes». Installées tous les 100 mètres, soit 1.500 machines, elles sont capables de détecter une anomalie comme un véhicule immobilisé dans un trafic fluide ou la présence de fumée.
Liste des 22 tunnels en chantier
Chennevières (78)
Fontenay (78)
Saint-Cloud (92)
Ambroise Paré (92)
Belle-Rive (92)
Nanterre (92)
La Défense (92)
Neuilly (92)
Les Sévines (92)
Antony (92)
Landy (93)
Bobigny (93)
Lumen (93)
La Courneuve (93)
Champigny (94)
Nogent (94)
Guy Môquet (94)
Moulin (94)
Italie (94)
Orly (94)
Fresnes (94)
Taverny (95)
(01/10/2009)>>
www.batiactu.com/edito/modernisation-de-22-tunnels-franciliens-24115.php
<< Un nouveau visage pour la citadelle de Lille
La maire de Lille, Martine Aubry, vient de présenter le projet de réaménagement du site historique de la citadelle réalisée par Vauban au 17ème siècle. Au programme : extension des espaces naturels, rénovation de ponts ou encore construction d’une structure de sports et loisirs.
La ville de Lille prévoit de réaménager le site historique de la citadelle. Ce projet prévoit une extension des espaces naturels pour atteindre un total de 80 hectares. Au programme également, l’aménagement d’une entrée majestueuse et la rénovation de ponts sans oublier la construction d\'une plaine des sports et de loisirs et l’agrandissement du zoo.
Le montant de ce projet devrait s’élever à environ 47 millions d’euros. «On aura ainsi le renforcement des vocations patrimoniale, environnementale et sportive de ce lieu au cœur de la ville», a déclaré la maire de la ville, Martine Aubry.
Pour rappel, la citadelle a été réalisée en 1670 sur les plans de Vauban.
(06/10/2009)>>
www.batiactu.com/edito/un-nouveau-visage-pour-la-citadelle-de-lille--24146.php
<< Feu vert pour le chantier du pont levant à Bordeaux
Le président de la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB) a donné son accord pour que les travaux du pont levant de Bordeaux puissent démarrer.
Le président de la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB) vient de donner son accord pour le démarrage des travaux (27 mois) du pont levant à Bordeaux.
Toutefois, le projet n’aura pas été sans heurt puisque de nombreuses associations ont dénoncé devant les tribunaux l’ampleur de l’infrastructure jugée pharaonique.
Mais la cour administrative d\'appel a rejeté jeudi la demande de ces associations, qui réclamaient la suspension de «l\'exécution de la délibération du 21 septembre 2007 par laquelle le conseil de la CUB» déclarait d\'intérêt général ce projet.
Ce pont de 426 mètres de long et d’un montant de 120 millions d’euros, sera élaboré pour les automobilistes, les cyclistes, les piétons mais également pour le tramway.
(08/10/2009)>>
www.batiactu.com/edito/feu-vert-pour-le-chantier-du-pont-levant-a-bordeau-24184.php
<< 93 sites historiques menacés dans le monde
Selon une étude d’un fonds privé américain, leWorld Monuments Fund, 93 sites historiques seraient en péril en raison du climat, des catastrophes naturelles ou encore des conflits humains. Parmi les sites les plus connus, on peut citer le Machu Picchu au Pérou ou la Sagrada Familia à Barcelone. Deux sites français figurent sur cette liste. Détails.
Un fonds privé américain, le World Monuments Fund, fait état tous les deux ans des sites historiques en péril dans le monde.
En 2010, 93 sites seraient menacés et les raisons de cette situation sont nombreuses : le climat, les conflits, les catastrophes naturelles ou encore l’homme directement. Au total, 47 pays sont touchés et parmi les lieux les plus connus, on peut citer la Sagrada Familia à Barcelone en Espagne ou le Machu Picchu au Pérou. Mais des sites plus surprenants figurent sur cette liste comme les 68 ponts enjambant le Merrit Parkway, une autoroute des années 1930 sillonnant le Connecticut (nord-est des Etats-Unis), et dont le WMF dénonce le manque d’entretien, ou encore le centre historique de Séville.
Deux sites en France
La France n’est pas épargnée non plus, deux sites seraient en danger selon l’organisme. Tout d’abord, l\'Hôtel des Monnaies de Villemagne-l\'Argentière, situé dans l’Hérault et datant du 13ème siècle, serait dégradé par l’usure du temps. L’autre monument pointé du doigt est l\'église de Saint-Martin-des-Puits dans l’Aude, construite entre le 9ème et le 12ème siècle, dont les fresques murales seraient abîmées par la perméabilité et le vandalisme.
Afin de sensibiliser l’opinion publique et les pouvoirs publics, le président du WMF explique, dans un communiqué, que tous ces sites sont des «endroits qui définissent et enrichissent nos vies et notre environnement. Sans eux, notre planète ne serait pas la même».
(07/10/2009)>>
www.batiactu.com/edito/93-sites-historiques-menaces-dans-le-monde-24161.php
3 623 contributions
<< Circuit de F1: des ONG interpellent les candidats à l\'élection régionale d’Ile-de-France
Associations écologistes et agriculteurs ont écrit une lettre aux candidats à l\'élection régionale d\'Ile-de-France afin de dénoncer le projet de circuit de F1 prévu à Flins-Les Mureaux dans les Yvelines.
Ce projet de circuit F1 «constitue une contradiction flagrante avec les principes relatifs à l\'aménagement du territoire et avec les décisions issues du Grenelle de l\'Environnement», c’est en ces termes que plusieurs ONG ont dénoncé dans une lettre ouverte le projet de construction d’un circuit de F1 dans les Yvelines. Elles soulignent aussi que ce circuit «se ferait sur le deuxième plus grand captage d\'eau potable d\'Ile-de-France». Avant d’ajouter : «Le Conseil régional Ile-de-France est un acteur essentiel de la lutte contre le réchauffement climatique, c\'est pourquoi nous vous demandons de vous engager à ne pas soutenir ce projet si vous êtes élu(e)».
(09/10/2009)>>
www.batiactu.com/edito/circuit-de-f1--des-ong-interpellent-les-candidats--24196.php
<< Une charte pour jardiner au naturel
L’association des Jardiniers de France propose à ses adhérents ainsi qu’à tous les jardiniers amateurs d’adhérer à une Charte du jardinage au naturel. Elle vise à rendre la pratique de cette activité plus respectueuse de l’environnement.
La protection de l’environnement est décidément au cœur des préoccupations de l’association des Jardiniers de France*. Elle vient à nouveau de le prouver en adoptant une Charte du jardinage au naturel. Le but étant d’inciter ses 180.000 adhérents ainsi que tous les jardiniers amateurs à adopter un comportement plus responsable et plus respectueux de l’environnement. "Le jardin n’appartient pas au jardinier qui en est que l’artisan locataire, précise-t-on à l’association. Par ses pratiques et usages, il doit donc l’embellir, le soigner et le respecter".
Cette Charte se présente sous la forme d’un guide contenant toute une série de conseils qui prônent le respect et le partage, les deux valeurs chères à l’association. "Par respect envers ses proches", il est par exemple recommandé de ne pas employer de produits polluants ou encore de faire attention au bruit de ses appareils à moteur. Un comportement qui doit aussi s’appliquer vis-à-vis de la vie animale en laissant, par exemple, fleurir les plantes sauvages afin d’attirer les pollinisateurs ou par rapport à l’eau en installant des récupérateurs d’eau de pluie sous ses gouttières et en arrosant son jardin "de façon optimale".
Ateliers pratiques
En ce qui concerne le partage, les jardiniers sont invités à transmettre leur savoir-faire aux autres membres de l’association mais également à faire profiter leur entourage du surplus de leur production. Afin de passer plus facilement de la théorie à la pratique, l’association s’engage également dans la charte à mettre en place des ateliers spécifiques "sur la connaissance du jardin du naturel et ses pratiques associées". En moyenne, 2.500 ateliers sont déjà organisés chaque année dans toute la France.
Par ailleurs, elle rappelle qu’elle a déjà publié deux livrets s’inscrivant dans la même lignée que la Charte : le premier apprend aux jardiniers à se passer des pesticides et le deuxième à recycler ses déchets pour en faire du compost. Des guides qui, elle l’espère, deviendront les livres de chevet de tous ses adhérents mais également de tous les jardiniers débutants ou initiés.
Pour consulter la charte des Jardiniers de France:
www.jardiniersdefrance.com/document/article/2442/jdf_carnet_naturel_BAT.pdf
*Une association présente dans toute la France
L’association des Jardiniers de France a été créée en 1876 et se fait connaître au départ sous le nom de "Société d’Horticulture de Valenciennes". A l’époque, le but de la structure est "d’organiser des expositions et de faire connaître les progrès de l’horticulture et de tout ce qui s’y rattache". L’association ne prend son nom actuel qu’en 1999, l’occasion pour elle de rappeler ses missions, à savoir "faire du jardin un espace d’épanouissement pour tous", "favoriser la rencontre et l’échange entre tous les jardiniers", "transmettre le savoir-faire jardiner" et, enfin, "respecter et protéger la nature et l’environnement". Au fil des années, l’association a su étendre son réseau à tout le territoire. Elle compte actuellement 2.000 clubs et 180.000 membres, essentiellement des amateurs passionnés par le jardinage.
C.Chahi (15/10/2009) >>
www.batiactu.com/edito/une-charte-pour-jardiner-au-naturel-24237.php
<< Ligne TGV Paris-Normandie : Dominique Bussereau installe le comité de pilotage
TRANSPORT - Actu-Environnement.com - 16/10/2009
Le Secrétaire d’Etat chargé des Transports Dominique Bussereau a installé le 15 octobre le comité de pilotage du projet de ligne à grande vitesse entre Paris et la Normandie, dévoilé le 29 avril et le 16 juillet par le Président de la République.
La nouvelle ligne ferroviaire devra permettre de relier Paris au Havre en 1h15, et Paris à Rouen en moins de 45 minutes, contre respectivement 2h et environ 1h sur la ligne actuelle. Elle permettra également de relier Paris à Caen en moins de 1h30, et Cherbourg en moins de 2h30, a précisé le Ministère du développement durable.
Le comité de pilotage est présidé par Jean-Pierre Duport et réunit notamment les Présidents des exécutifs des 3 Régions concernées (Haute-Normandie, Basse-Normandie et Ile-de-France), les Présidents des Conseils Généraux concernés et le Président de Réseau ferré de France (RFF).
Dominique Bussereau a également annoncé l\'organisation d\'un débat public dès 2011 autour de cette nouvelle ligne à grande vitesse. Le Ministre a par ailleurs demandé à Réseau ferré de France (RFF) de remettre une étude \'\'stratégique\'\' qui sera examinée lors de la prochaine réunion du comité de pilotage avant la fin de l’année.
R. BOUGHRIET
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<< La France et l\'Italie renforcent leur coopération dans le transport ferroviaire
TRANSPORT - Actu-Environnement.com - 12/10/2009
Dominique Bussereau, secrétaire d\'Etat chargé des Transports, et Altero Matteoli, ministre italien des Infrastructures et des Transports, ont signé vendredi 9 octobre un accord de ferroutage entre la France et l\'Italie. Cette convention s\'inscrit dans le plan d\'engagement national pour le fret ferroviaire présenté par Jean-Louis Borloo le 16 septembre dernier.
L\'accord vise à réduire le trafic routier dans les vallées alpines en transférant 100.000 poids lourds par an sur la future autoroute ferroviaire. Depuis 2003, un service expérimental a déjà permis de transporter plus de 100.000 camions. Une nouvelle liaison devrait être créée entre Lyon et Turin.
L\'autoroute ferroviaire sera gérée par une concession de service public. Une consultation internationale lancée dans les prochains jours servira à désigner son futur opérateur.
C. MONCEAU
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www.actu-environnement.com/ae/news/fret_ferroviaire_ferroutage_france_italie_bussereau_matteoli_borloo_8544.php4
<< Habiter une «Nomadihouse» (diaporama)
A mi-chemin entre la yourte mongole et le mobil-home, la «Nomadihouse» conçue par Bart Van Looveren apporte une alternative écologique, confortable et nomade aux constructions classiques. Découverte de ce prototype.
Et si le bonheur était au fond du jardin ? Témoin du succès grandissant de la yourte mongole et des mobil-home, Bart Van Looveren a décidé de coupler les deux pour créer ce qu’il appelle la «Nomadihouse». Seule différence : ce concepteur ne cherche pas à sédentariser ce type de logement. Il travaille, au contraire, à le rendre à la fois flexible et mobile, en une phrase : «adapté au mode de vie actuel».
Un véritable logement
Petite maison de quarante mètres carrés, la «Nomadihouse» vise tous les publics : «Elle s’adresse aussi bien aux personnes âgées et seules, souvent cantonnées à des maisons trop grandes et difficiles à entretenir, qu’aux familles», explique Bart Van Looveren. «A l’intérieur, une cuisine, des sanitaires, une pièce à vivre, une chambre et même une terrasse assurent tout le confort moderne». L’espace à vivre peut également être élargi à 80 ou 120 mètres carrés en réunissant plusieurs «Nomadihouse».
Par ailleurs, cette habitation est aussi écologique qu’une yourte : «Sans fondation, elle respecte le terrain», précise Bart Van Looveren qui habite la sienne depuis 2007. L\'hiver, deux stères de bois (NDLR : environ deux mètres cube) suffisent à chauffer ce logement à ossature bois de près de trois mètres de haut et jusqu’à dix mètres de large, isolé avec 8 cm de liège expansé.
Prêt à partir
L’autre atout de cette habitation atypique est qu’elle peut être déplacée à tout moment : «Elle se replie en un modèle container standard de trois mètres de haut sur 4,40 mètres de long et 2,40 mètres de large», indique Bart Van Looveren, «si bien qu’elle est transportable par camion, sans convoi exceptionnel». Son montage et son démontage sont extrêmement rapides : environ une journée.
Si ce type de logement vous intéresse, il faudra cependant vous armer de patience. L’habitation en est encore au stade de prototype et Bart Van Looveren travaille, pour l’heure, à trouver des fabricants qui souhaiteraient industrialiser son projet. Mais cette difficulté n’empêche pas cet inventeur d’avoir déjà une foule d’idées dont le projet d’une nouvelle «Nomadihouse», plus grande, de 70 mètres carrés composée de matériaux 100% écolos...
Fiche technique d’une «Nomadihouse»
Inventeur : Bart Van Looveren
Superficie : 40 m²
Dimensions ouverte : H 2,80 x L max 6 x l max 10 mètres
Dimensions fermée : H 3 x L 2,40 x l 4,40 mètres
Coût estimé : 400 euros par mètre carré
Leslie Cottenceau-Mathurin (20/10/2009)>>
www.batiactu.com/edito/habiter-une--nomadihouse---diaporama--24273.php
(source télé)
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Memoires de Chirac
- Mitterrand et lui : mêmes valeurs de la République
- sarko un fameux \"communicant\"
- giscard l\'ennemi de toujours
- bala - calculateur froid - qui a trahit ses engagements (bin tiens je suis d\'accord, plus sarko regarde où en en est aujourd\'hui)
(bala a sorti un livre sur Mitterand et lui, si vous l\'avez lu, n\'essaies-t-il pas de dire à l\'aide de lourds sous-entendus, que kermit est à l\'origine de la crise du siècle ? m\'étonnerait pas c\'est dans la continuité de la droite dure qui nous mène).
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inquiétudes
sécurité réacteur EPR - la conception est à revoir
(epr : système qui devrait produire de l\'électricité avec moins de déchets en complément du nucléaire toujours là) tu parles charles
abondon en vue (financement à la traine ?)
(il y en a trois en commande dans le monde !)
bravo aréva (entreprise remontée sans fonds propres ou lbo ? à voir)
ça fait longtemps sol-ange (je crois) c\'était battue contre cette utopie de capitalistes mafieux sectaire
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près d\'un réacteur nucléaire sur trois est à l\'arrêt pour \"maintenance\" en France, selon un décompte de l\'AFP...
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<< Mosquée de Gennevilliers : un chantier auto-financé (diaporama)
Inaugurée le 10 octobre dernier, la mosquée de Gennevilliers est un modèle d’architecture mixte, à la fois d’inspiration orientale et occidentale. Entièrement financé par les habitants de la commune, le projet, dans les cartons depuis 15 ans, a débuté il y a seulement 3 ans. Toutefois, le chantier n’est pas achevé et attend encore quelques généreux dons. Visite.
Rue Paul Vaillant-Couturier à Gennevilliers, se dresse aujourd’hui un imposant bâtiment aux murs roses flanqué de deux tours au sommet doré. La nouvelle mosquée de la commune des Hauts-de-Seine a ouvert ses portes le 10 octobre en présence du préfet du département. Venu nombreux, le public de musulmans et de non musulmans a ainsi pu admirer le travail de l’association Ennour, des bénévoles de Gennevilliers, et de l’architecte égyptien Ramzi Mahalaoui, qui ont travaillé durant plusieurs années à la construction de ce lieu de culte.
Répondant aux nouvelles exigences environnementales, la mosquée s’inscrit dans une démarche de développement durable puisque des matériaux et techniques « écolo » ont été utilisés pour sa conception. En effet, les murs constitués de parpaings en polystyrène expansé, dans lesquels est coulé le béton, offrent une isolation tant intérieure qu’extérieure. Doté d’un chauffage au sol, le bâtiment s’est équipé d’un puits canadien qui permettra de maintenir une température stable dans l’enceinte. Un système de trois chaudières à gaz (50 kW chacune) vient en appoint. La terrasse en toiture est prête à accueillir quelque 40 m2 de panneaux solaires thermiques, qui, à terme, devraient alimenter l’eau chaude sanitaire et le chauffage au sol, mais les moyens financiers ne le permettent pas pour le moment. En outre, pour conserver une température au sol agréable – puisque les fidèles se doivent de se déchausser avant de pénétrer les salles de prière – un revêtement spécial et sur mesure a été posé sur les 1.400 m2 dédiés à l’accueil des fidèles, l’espace femmes se situant à l’étage. Ceci est le travail d’un entrepreneur local, TBE Gennevilliers. C’est le fabricant allemand Vorwerk qui a ainsi fourni la moquette « Format Design », qui laisse passer la chaleur du sol, est garantie anti-allergène et surtout est facile d’entretien. De couleur bleu, elle a été choisie par l’association, notamment pour rappeler les couleurs du motif des mosaïques murales. Une partie d’entre elles, notamment celles apposées sur les piliers et sur le mur où se place l’imam pour lancer la prière, a été entièrement posée à la main et vient directement du Maroc. Enfin, une magnifique verrière surplombe les salles, qui laisse la lumière entrer et les rayons du soleil illuminer les versets du Coran inscrits tout autour de la dalle supérieure. Au sommet de ce dôme de verre - fabriqué en triple vitrage, et dont la couche supérieure absorbe 75% des rayons solaires – est suspendu un gigantesque lustre dont une partie est gravée de textes religieux.
Deux phases de chantier
Le chantier a employé une moyenne de 15 à 20 salariés à temps plein pendant certains mois. Le président d’Ennour, un entrepreneur de Gennevilliers, a ainsi choisi de mettre entre parenthèse son activité professionnelle pour se consacrer à la construction de la mosquée. Aujourd’hui, l’édifice reçoit jusqu’à 3.000 personnes les vendredis soirs – sur les deux niveaux - soit environ 90 personnes par rangée délimitée par le motif dessiné sur la moquette (cf. photo). Cette première phase d’un chantier bien plus vaste et ambitieux aura également coûté quelque 2.5 millions d’euros. Mais, les caisses étant à ce jour vides, la seconde partie du chantier, qui comprend la réalisation, à l’avant de la mosquée, d’une partie culturelle avec cours de classe, bibliothèque et salles de conférence nécessite encore plus d’un million d’euros d’investissement. De même, à terme, l’entrée principale sera dotée d’une fontaine à l’architecture typiquement marocaine. Le président d’Ennour, M. Benali, estime que les travaux pourraient débuter au deuxième semestre 2010.
Carine Lauga (27/10/2009) >>
www.batiactu.com/edito/mosquee-de-gennevilliers---un-chantier-auto-financ-24345.php
<< Renault développe son activité véhicules électriques dans les Yvelines
TRANSPORT - Actu-Environnement.com - 06/11/2009
Le constructeur automobile Renault a choisi de produire son futur véhicule électrique zéro-émission Zoé Z.E., commercialisé début 2012, dans son usine de Flins (Yvelines), a-t-il annoncé le 5 novembre. Sur les quatre modèles de sa future gamme électrique, deux seront fabriqués en France, qui deviendra ainsi \'\'le point d\'ancrage\'\' de cette activité, a souligné Carlos Ghosn, Président directeur général de Renault et de Nissan.
Le groupe va également implanter à Flins une usine de production de batteries pour véhicules électriques, en partenariat avec le Commissariat à l\'Energie Atomique (CEA) et le Fonds Stratégique d\'Investissement (F.S.I.). Les partenaires ont signé hier une lettre d\'intention pour la création d\'une entreprise commune sur la recherche, le développement et l\'industrialisation de ces batteries, sous le haut- patronage de Christian Estrosi, Ministre chargé de l\'Industrie. Le recyclage fera aussi partie de ses activités.
L\'usine de fabrication de batteries passera d\'une production de 100.000 batteries par an au démarrage en 2012 à 250.000 batteries en 2015. L\'investissement de la première phase du projet est estimé à 600 millions d\'euros jusqu\'en 2013. Le FSI entrera au capital de la nouvelle entité à hauteur de 125 millions d\'euros en numéraire, le CEA pour 5 millions. Renault apportera 125 millions. \'\'Flins deviendra un grand centre de développement des voitures électriques et des batteries\'\', a souligné M. Ghosn. Le groupe table sur un marché de 10 % de véhicules électriques à l\'horizon2020.
Rachida Boughriet
© Tous droits réservés Actu-Environnement
Reproduction avec accord de l\'Éditeur >>
www.actu-environnement.com/ae/news/renault_cea_batteries_vehicules_electriques_flins_8794.php4
zéro émission ! quel courage !Le constructeur automobile Renault a choisi de produire son futur véhicule électrique zéro-émission
la production du contenant c\'est du co2 en quantité industrielle et le contenu, un stock inépuisable de déchet nucléaire mortel.
tout ça est navrant et me fiche le bourdon. Pas vous (la majorité silencieuse ?
<< Energie : le médiateur lance un comparateur de tarifs
Le Médiateur national de l’énergie vient de lancer un comparateur indépendant pour permettre à tout un chacun de mieux connaître les offres du marché. Une initiative originale qui en fait le premier comparateur public. Explications
Plus de deux ans après l’ouverture à la concurrence des marchés de l’électricité et du gaz naturel, un grand nombre d’inconnus subsiste, selon le Médiateur national de l’énergie, depuis sa mise en place l\'année dernière. Pour tenter d’y remédier et conformément à ses compétences en termes d\'informations et de conseils, cette autorité publique indépendante vient de lancer une nouvelle structure en ligne : le comparateur d’offres d’électricité et de gaz naturel.
Comment ça marche ?
Ce comparateur, en ligne sur energie-mediateur.fr et energie-info.fr, est indépendant et fournit toutes les offres sur le marché en matière d’électricité et de gaz. \"Outil pédagogique\", il indique les services, durée du contrat, qualité de fourniture, mix énergétique, prix de l\'offre, modalités de paiement, etc., de chaque fournisseur. Après s’être connecté, l’internaute détermine d\'abord son profil et remplit les champs relatifs à ses consommations énergétiques pour obtenir des offres correspondant à ses besoins.
Des droits mal connus
\"En moins de 5 minutes et seulement en quelques clics, le consommateur peut obtenir une comparaison de toutes les offres disponibles et mieux comprendre sa fourniture d\'énergie\", explique-t-on au Médiateur. Selon un sondage LH2 commandé par ses services, la consommation d’énergie reste un sujet de préoccupation important pour les Français. Près de 60% d’entre eux estiment que leurs factures d’énergie (électricité et gaz) pèsent sur leur pouvoir d’achat. Et ils ne sont plus que 36% de consommateurs à connaître leur droit à changer de fournisseur d’énergie, tandis que 77 % disent ne pas savoir quelle est la marche à suivre pour réaliser cette modification.
En parallèle, le Médiateur de l\'énergie lance une grande campagne d\'information dans les médias. Sur les thèmes \"Informer, conseiller, protéger\", sa nouvelle signature, la campagne, réalisée par Publicis consultant, s\'articule autour d\'un univers pédagogique et décalé. L\'illustrateur australien Jeremyville a ainsi créé trois personnages : \"Daphné Parassurée\" bientôt toute confiante, \"Chloë Touteperdue\" s’y retrouve enfin, \"Charlie Cherchelinfo\" la trouve à tous les coups. Des personnages \"qui donnent une tonalité proche et humaine\", explique le Médiateur. Spots Tv, affiches, bannières internet, relooking du site web... le médiateur entend marquer un grand coup.
(06/11/2009)>>
www.batiactu.com/edito/energie---le-mediateur-lance-un-comparateur-de-tar-24463.php
Procès AZF : relaxe générale au bénéfice du doute
<< LGV Tours-Bordeaux : remise des offres le 15 décembre
Les candidats à la concession de ligne à grande vitesse Tours-Bordeaux n’ont plus qu’un mois pour remettre leurs copies. RFF vient en effet d’annoncer que les trois groupements candidats devront rendre leurs offres le 15 décembre.
Dernière ligne droite pour les candidats à la grande vitesse : les offres finales pour la mise en concession du tronçon reliant Tours à Bordeaux sur la future ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique devront être remises le 15 décembre.
Le gestionnaire Réseau ferré de France (RFF) a d’ailleurs adressé un dossier complémentaire aux candidats, trois groupements menés par Bouygues, Eiffage et Vinci. Ce dossier vient confirmer, au vu des engagements de financement de l\'Etat et des collectivités locales, que le périmètre des offres doit intégrer l\'ensemble de la nouvelle ligne (soit 302 km) et les raccordements aux lignes classiques (39 km). La nouvelle ligne, dont le montant est estimé à 7,2 milliards d\'euros doit permettre de relier Paris et Bordeaux en 2h05.
Selon RFF, le choix du concessionnaire sera arrêté en mars 2010, pour une signature du contrat à l’été suivant. Les travaux devraient ensuite commencer début 2011 et durer cinq ans>>
www.batiactu.com/edito/lgv-tours-bordeaux---remise-des-offres-le-15-decem-24522.php
Les Pays-Bas vont mettre en marche une centrale au biogaz provenant de bouses de vache. Cet équipement devrait permettre d’alimenter en énergie, à terme, près de 1.200 logements.
Les Pays-Bas viennent de se doter d’une centrale au biogaz provenant de bouses de vache fermentées dans une ferme avec de l\'herbe et des restes de l\'industrie alimentaire, a indiqué Essent un groupe énergétique néerlandais. «C\'est la centrale la plus propre des Pays-Bas», a souligné Essent dans un communiqué. Avant d’ajouter : «Il s\'agit d\'utiliser des ressources situées dans un environnement proche pour produire de l\'énergie destinée à une consommation locale». Dans un premier temps, le système alimentera quelque 350 habitations pour, à terme, atteindre le nombre de 1.200 logements.
(13/11/2009)>>
www.batiactu.com/edito/une-centrale-electrique-fonctionne-a-la-bouse-de-v-24513.php
Le programme lancé en 2008 par la Fondation Abbé Pierre et visant à réaliser des logements performants au niveau énergétique va bénéficier de l’appui d’EDF. L’énergéticien vient apporter un soutien de 2,4 millions d’euros à l’opération
EDF vient de s’associer au programme «2.000 toits pour 2.000 familles», lancé par la Fondation Abbé Pierre il y a un an avec l’objectif était de réaliser des logements performants sur le plan énergétique, et économe «afin de diminuer durablement l’impact des charges sur le budget des occupants», des familles très défavorisées.
Si ce programme a déjà permis de financer 750 logements, la Fondation vient de s’associer avec EDF. L’énergéticien s’engage à apporter un soutien financier de 2,4 millions d’euros, soit 25% d’augmentation par rapport au budget initial de l’opération, afin de contribuer au financement des travaux d’amélioration des performances énergétiques dans l’habitat social. Cette participation concerne notamment l’isolation, le changement de fenêtres, le chauffage, la ventilation, et l’installation d’équipements utilisant des énergies renouvelables.
EDF prévoit en outre d’accompagner les occupants des logements concernés par des actions de sensibilisation, ou de distribution d’appareils éco-efficaces.
(18/11/2009)>>
www.batiactu.com/edito/la-fondation-abbe-pierre-et-edf-s-unissent-pour-le-24543.php
Ornée de 120 personnages, la façade principale du Sacré Cœur de Gentilly (94) se refait une beauté. Coincée entre le boulevard périphérique et l’A6, cette église subit depuis plusieurs semaines un ravalement afin de retrouver son éclat et sa blancheur. Découvrez l’état du chantier à 15 jours du démontage des échafaudages.
Construite entre 1933 et 1936, l\'église du Sacré Cœur de Gentilly s’offre son premier ravalement de façade. Niché près du boulevard périphérique et l’A6, ce mystérieux monument a la particularité, comme le souligne l’architecte François Bevillard, que «tout le monde la connaisse sans vraiment savoir comment s’y rendre».
Ce monument avait donc besoin d’un coup de jeune pour redorer son image et surtout sa visibilité. L’un des défis du chantier résidait essentiellement à redonner de la lisibilité aux 120 personnages sculptés qui ornent la façade principale. Au programme : traitement de la pierre avec un nettoyage par projection de microfine par voie humide et rinçage mais on peut également citer la minéralisation ou encore l’hydrofugation pour ralentir l’encrassement. Si la société en charge du chantier, Peinteco, souligne que «le gros du travail a consisté à nettoyer, les sculptures des personnages ont aussi donné lieu à une rénovation minutieuse avec de la taille de pierre notamment pour les contours des yeux, du nez ou encore des oreilles». Blanchie, la façade dévoile tour à tour un imposant Christ en majesté, les Pères de l\'Église, les bienfaiteurs de l\'Université de Paris, le couple de donateurs en position de repentants dans le style médiéval, ainsi que des anges, des symboles, des animaux et même des monuments parisiens. D’une valeur de l’ordre de 50.000 euros, ce chantier a nécessité l’intervention de quatre compagnons et un sculpteur.
Prochaine étape : le clocher
Appartenant depuis 1979 à la communauté portugaise, l’église devrait voir ses travaux s’achever pour les célébrations de noël. Le lieu de culte pourra dès lors accueillir de nouveau de nombreux fidèles pour des messes en portugais le samedi et le dimanche. Toutefois, ce chantier n’est pas encore terminé car l’emblème du monument, un clocher encerclé d’anges aux ailes déployées, n’a pas encore subi les coups de pulvérisateur lui permettant de retrouver toute sa grandeur. Alors à quand cette prochaine étape?
Fiche technique
Maîtrise d’ouvrage : Association diocésaine de Paris
Maîtrise d’ouvrage déléguée : Les chantiers du cardinal
Maître d’œuvre : Atelier d’architecture - François Bevillard
Entreprise : Société Peinteco
Coût du chantier : environ 50.000 euros
C.G (24/11/2009>>
www.batiactu.com/edito/l-eglise-de-gentilly-redonne-du-lustre-a-sa-facade-24605.php
Ancien quartier du ministère de la Défense, le Fort d’Issy-les-Moulineaux va devenir un Fort numérique. La ville des Hauts-de-Seine vient de l’acquérir pour y construire des logements et équipements de haute qualité environnementale et équipés des dernières technologies.
Le Fort d’Issy, construit au XIXe siècle aux portes de Paris, va se transformer en un quartier où cohabiteront nouvelles technologies et haute qualité environnementale. Le ministère de la Défense vient de céder 12 hectares (sur les 20 au total) du Fort à la ville d\'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), pour 60 millions d\'euros.
Délaissé en 2007 par la Délégation générale pour l\'armement (DGA), l’ancienne propriété de la Défense va devenir un «Fort numérique». Le projet de la ville, qui convoitait le Fort depuis douze ans, est d’y construire un quartier d\'habitations (avec 1.538 logements dont 329 sociaux) et d\'équipements publics (crèche, école...) à très haute qualité environnementale et dotés de nouvelles technologies.
L\'aménagement du site a été confié par la ville à la société d\'économie mixte d\'aménagement de l\'Arc de Seine (Semads), qui se chargera aussi de sa dépollution.
(30/11/2009)>>
www.batiactu.com/edito/le-fort-d-issy-cede-a-la-ville-pour-un-projet-envi-24651.php
Selon l\'Union nationale du transport frigorifique, qui ne s\'associe pas à la grève, \"il y a un gros risque que les Français ne puissent avoir dans leur assiette les produits frais traditionnels des fêtes, comme les huîtres, le foie gras, la dinde, le saumon.\"
modif
<< Un grand entrepôt parisien bientôt transformé en lieu de vie
Un millier de logements, une école, une crèche et un gymnase vont bientôt élire domicile dans un ancien entrepôt de Paris, le plus grand de la capitale.
Le plus long entrepôt de Paris va se transformer pour accueillir logements, entreprises, commerces et équipements. Le maire de la capitale, Bertrand Delanoë, a annoncé lundi que l’entrepôt Macdonald, un bâtiment long de 616 mètres et totalisant une surface de 160.000 m2 situé dans le XIXe arrondissement (nord est de Paris) allait être rénové.
Le projet de l\'architecte coordonnateur néerlandais Floris Alkemade prévoit «1.000 logements dont la moitié sociaux, une pépinière d\'entreprises et des équipements publics» tels qu’une crèche, une école, un collège et un gymnase, a détaillé Bertrand Delanoë. Il est également prévu de construire devant le bâtiment une gare du RER E Eole, Eole Evangile, et un arrêt du futur tramway T3 qui circulera au milieu de l\'entrepôt, sous une passerelle. «C\'est un projet considérable, innovant, on peut parler de ‘couture’ pour rapprocher des quartiers. Il fallait au sud du périphérique de vrais logements, de vrais commerces», s’est enthousiasmé Augustin de Romanet, le directeur général de la Caisse des Dépôts.
Cette reconversion est portée par l\'opérateur SAS Paris Nord-est, détenu par la Caisse des Dépôts (50%), sa filiale immobilière Icade (30%) et la Société d\'Economie mixte de la Ville de Paris Semavip (20%).
Avec AFP (07/12/2009)>>
www.batiactu.com/edito/un-grand-entrepot-parisien-bientot-transforme-en-l-24716.php
<< Des ailes d’acier pour relier Nantes à sa banlieue (diaporama)
S’élançant sur 299 mètres, le pont Léopold-Sédar-Senghor, actuellement en construction, permettra de raccorder l’Ile de Nantes à la commune de Saint-Sébastien-sur-Loire. Accueillant des piétons, des vélos et des véhicules, cette structure d’acier, reposant sur cinq piles, a été imaginée par l’Atelier d’architectes Marc Mimram. Découvrez le projet.
Le pont métallique Léopold-Sédar-Senghor commence à prendre forme dans la ville de Nantes. Raccordant la métropole et la commune de Saint-Sébastien-sur-Loire, cette structure viendra compléter les 14 ponts existants qui permettent quotidiennement de passer d’une rive à l’autre.
«Il est nécessaire pour la ville de proposer un maillage important non seulement pour désengorger la circulation le matin et le soir, mais également pour favoriser et développer les transports en commun», explique Christophe Ray, responsable du projet de franchissement sur la Loire à Nantes Métropole. D’une longueur de près de 300 mètres, le pont devait répondre à trois problématiques : être ancrée dans la géographie, s’inscrire dans l’urbanité et dévoiler une structure légère sur l’horizon. C’est donc à partir de ces postulats que l’atelier d’architectes Marc Mimram s’est attelé à monter son projet.
Une structure rivée sur l’horizon
«On voulait créer un ouvrage avec une certaine transparence de manière à dégager des vues sur le paysage pour les piétons», précise Arnaud Delugeard, ingénieur civil pour l’agence Mimram. Ainsi, le pont déploie des arcs en acier qui supportent un tablier mixte laissant apparaître une allure sobre et élégante. Au total, ce sont près de 2.500 tonnes d’acier à performances élevées qui auront servi à ériger la structure. Montée sur cinq piles, cette dernière est composée de consoles et de caissons. Quant au tablier en béton armé, il accueillera 2 voies automobiles (2x3m), 2 bandes cyclables (2x1,5m), 2 trottoirs piétons en platelage bois (2x3m).
Une estacade pour le chantier
Encore en chantier, le pont est construit par voie terrestre grâce à une estacade de 260 mètres. Pour le tablier, la prédalle en béton armé de 10 cm d’épaisseur a été posée à la grue. De même, pour la charpente métallique. Le tout rapidement : «Sur ce chantier, la cadence de construction est importante à savoir une travée par jour», a souligné Pierre Colin de l’entreprise Quille, qui est en charge du génie civil. En cours de finalisation, le pont nécessite encore quelques travaux notamment pour l’aménagement des voies piétonnes. L’inauguration est prévue pour mars 2010.
C.G (08/12/2009)>>
www.batiactu.com/edito/des-ailes-d-acier-pour-relier-nantes-a-sa-banlieue-24723.php
<< Bordeaux commence la construction de son pont levant
Le projet de pont levant de Bordeaux est en passe de devenir réalité. La ville, ainsi que la communauté urbaine, ont inauguré officiellement mercredi le chantier de cet ouvrage qui doit relier les quartiers de Bastille et Bacalan.
Le pont levant de Bordeaux est enfin en chantier ! Quelques centaines de Bordelais ont assisté mercredi au lancement officiel des travaux de cet ouvrage qui doit faire passer de l’autre côté de la Garonne à partir de fin 2012 voitures, transports en commun, vélos et piétons.
La cérémonie s\'est déroulée en présence du président (PS) de la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB), Vincent Feltesse, et du maire (UMP) de Bordeaux, Alain Juppé, qui a rappelé que cet ouvrage était issu d’«un combat de dix ans». La CUB avait autorisé les travaux en octobre dernier, après le rejet par la cour administrative d\'appel d’un recours d’un collectif d’associations opposées à «un projet du siècle passé». La gestion des ponts par la ville, inscrite au patrimoine mondial de l\'Unesco depuis l\'été 2007, est également l\'objet d\'une surveillance étroite de la part de l\'organisation.
Le nouveau pont, construit par GTM-Vinci pour un coût global d’environ 145 millions d’euros, reliera deux quartiers en mutation au nord du centre-ville, Bacalan et Bastide. C’est d’ailleurs ce qui lui vaut d’ores et déjà ce qui vaut déjà le surnom de «Baba». Le pont sera équipé d’une travée levante en caisson métallique profilé de 2.600 tonnes, de 120 mètres de longueur et 45 mètres de largeur.
(10/12/2009) >>
www.batiactu.com/edito/bordeaux-commence-la-construction-de-son-pont-leva-24745.php
<< Le suivi à distance des consommations d\'énergie expérimenté en Bretagne
Edelia, filiale à 100% d\'EDF, vient d’annoncer qu’elle allait expérimenter auprès de 600 foyers bretons un programme lui permettant de piloter à distance certains équipements électriques de ses clients. Ce système permettra de gérer de façon optimale les consommations énergétique
En décidant des interruptions de courte durée de certains appareils électriques, tels que le chauffage ou les chauffe-eau, Edelia, filiale à 100% d’EDF entend ainsi faciliter la gestion par ses clients de leurs dépenses.
Les foyers bretons concernés, et qui seront équipés de boîtiers dits intelligents, auront la possibilité de suivre sur internet l\'évolution de leur consommation, à la fois en euros, en kW/h et en émissions de CO2 rejeté. Ils pourront également être alertés en cas de dépassement de seuil de consommation défini par eux et obtenir des conseils pratiques.
A noter que la Bretagne produit seulement 8% de sa consommation d\'électricité et risque la pénurie lors des pics de consommation hivernaux.
(08/12/2009)>>
www.batiactu.com/edito/le-suivi-a-distance-des-consommations-d-energie-ex-24731.php
<< L\'ancienne prison d\'Avignon sera bientôt un hôtel de luxe
La ville d’Avignon vient de présenter le projet de réhabilitation de son ancienne prison en hôtel de luxe. L’établissement de 90 chambres ouvrira ses portes en 2013. Le cabinet Macary-Zublena, associé à l’architecte Georges Varnitzky, ont été désignés pour ce projet.
Les touristes découvrant la ville d’Avignon pourront bientôt dormir en prison… de leur plein gré ! La cité des Papes a présenté mardi le projet de réhabilitation de l’ancienne prison Saint-Anne en hôtel. Bâtie au pied du palais des Papes au XIXe siècle, la prison, rachetée en début d’année par la municipalité, deviendra en 2012 un hôtel de luxe Marriott. C’est la société Generim qui a été retenue pour ce projet. «Le prix de vente est de 2 millions d\'euros pour un montant des travaux estimé à 36 millions», a déclaré la maire UMP Marie-Josée Roig. «Le montant de la vente permet à la Ville de réaliser une plus-value substantielle d’un million d’euros. Cette somme sera entièrement dédiée à la réhabilitation du quartier Banasterie».
Quatre étoiles
Le futur établissement 4 étoiles sera rénové d’après les plans élaborés par le cabinet Macary-Zublena, concepteur du Stade de France, associé à l’architecte avignonnais Georges Varnitzky. L’hôtel comprendra 90 chambres, dont la plupart auront une surface de 35 m2, mais aussi plusieurs suites de 55 m2 et une suite présidentielle de 140 m2. L’établissement sera équipé d’un spa, d’un bar lounge, d’une piscine extérieure, d’un restaurant et d’un centre de congrès pouvant accueillir 700 personnes.
Le chantier doit débuter début 2010, pour un accueil de la clientèle dès 2013. Selon Marie-Josée Roig, ce futur hôtel «dote Avignon d’un équipement touristique indispensable dans les années à venir. Avignon, au risque d’être reléguée au rang de \"belle mais petite ville de province\", se doit de posséder un type d’hébergement qui lui permette de compter dans la catégorie des grandes destinations internationales».
(23/12/2009)>>
www.batiactu.com/edito/l-ancienne-prison-d-avignon-sera-bientot-un-hotel--24857.php
<< Les dérogations aux règles d’accessibilité invalidées
Alors que les associations de défense des personnes handicapées s’étaient élevées contre le vote par le Sénat d’un article de loi prévoyant de nouvelles dérogations aux règles d’accessibilité des bâtiments, le Conseil constitutionnel vient tout simplement d’invalider cet article.
Il n’y aura pas de nouvelles dérogations aux règles d’accessibilité des bâtiments. Le Conseil constitutionnel a en effet censuré un article qui allait dans ce sens, et qui devait s’inscrire dans le cadre de la loi de finances rectificative (LFR) de 2010. Cet article «n’a pas sa place dans une loi de finances», a estimé le Conseil constitutionnel, pour qui cet article a été «adopté selon une procédure contraire à la Constitution».
Lors de son vote au Sénat, l’amendement avait été fortement critiqué par les associations d’aide aux personnes handicapées. «Sur proposition du gouvernement, le Sénat vient d’adopter, après l’Assemblée nationale, en catimini et dans le plus grand silence, une profonde remise en cause de la lettre et de l’esprit de la loi handicap du 11 février 2005», avaient accusé d’une même voix plusieurs organisations, dont la Fnath (Fédération nationale des accidentés du travail et des handicapés). L’article prévoyait en effet la possibilité d’obtenir des dérogations aux règles de l’accessibilité, notamment pour les logements neufs, en cas «d’impossibilité technique résultant de l’environnement du bâtiment».
(04/01/2010)>>
www.batiactu.com/edito/les-derogations-aux-regles-d-accessibilite-invalid-24872.php
<< Le Charles de Gaulle Express pourrait être en partie enfoui
Selon une étude de l\'Atelier parisien d\'urbanisme (Apur), la future liaison ferroviaire Charles de Gaulle Express (CDG Express) pourrait être enfouie à hauteur de la Porte de la Chapelle à Paris.
Le maire de Paris Bertrand Delanoë a écrit au Premier ministre François Fillon en lui indiquant que, selon une étude de l\'Atelier parisien d\'urbanisme (Apur), la future liaison ferroviaire Charles de Gaulle Express (CDG Express) pourrait être enfouie à hauteur de la Porte de la Chapelle à Paris. Il précise qu’Apur « montre qu\'une solution technique existe, consistant à enfouir le projet CDGex à l\'ouest de la porte de la Chapelle dans une tranchée couverte sous les boulevards des Maréchaux».
Selon le maire de la capitale, cette solution augmenterait le projet de seulement «15 millions d\'euros, soit quelques pourcents du total qui est de 640 millions d\'euros».
Pour rappel, la ligne CDG Express, qui couvrira 32 kilomètres, doit relier la gare de l\'Est de Paris à l\'aéroport de Roissy.
(12/01/2010)>>
www.batiactu.com/edito/le-charles-de-gaulle-express-pourrait-etre-en-part-24957.php
<< Signature d\'un protocole d’études entre RFF, SNCF et l\'EPASA aux Groues de Nanterre
En décembre dernier, des représentants Immobilier de Réseau Ferré de France (RFF), de l’Epa Seine-Arche ainsi que de la SNCF ont signé un protocole d’études pour l’aménagement du site des Groues de Nanterre.
Anne Florette, Directrice du foncier et de l’immobilier de RFF, Philippe Chaix, Directeur Général de l’EPASA et Jean-Marc Roger, Directeur immobilier de la SNCF ont en effet signé un protocole d’études pour l’aménagement des Groues, un secteur particulièrement important de l’Opération d’intérêt national Seine Arche à Nanterre, tant par sa localisation que par l’ampleur de la surface de site engagée.
Le site des Groues d’une surface de 76 hectares est situé au pied du quartier d’affaires de la Défense et à la limite de la Garenne-Colombes. Il représente le dernier secteur de développement de cette ampleur dans l’opération d’intérêt national et, plus largement, dans la première couronne de l’Ouest Parisien. Ce site majoritairement ferroviaire accueille également un tissu diffus d’entreprises de production et tertiaires. Actuellement lourdement enclavé par des voies ferrées, ce quartier va profondément changer de physionomie avec notamment le prolongement du RER E, la transformation de l’actuelle gare de triage en gare voyageurs et les idées de l’urbaniste Patrick Chavannes.
Le futur aménagement comprendra ainsi le désenclavement du quartier fortement impacté par des infrastructures, l’implantation de la future gare Eole, point focal du développement du quartier, le développement d’une ville dense et bien desservie, et le renforcement des liens avec les Terrasses de seine Arche, le quartier de la Défense et la ville de la Garenne-Colombes. L’EPASA réalisera ainsi un nouveau quartier constitué d’un ensemble de bureaux, de logements, d’équipements publics, d’activités et de commerces… Et pour une meilleure offre de transports ferroviaires, RFF et SNCF étudient la mise en place de projets spécifiques.
(12/01/2010)>>
www.batiactu.com/edito/signature-d-un-protocole-d-etudes-entre-rff-sncf-e-24950.php
Un hôpital irlandais vient de s’équiper de cuivre pour lutter contre les risques d’infections nosocomiales. Après des phases de test et d’expérimentations concluantes menées en Grande-Bretagne depuis 2007, les résultats montrent que les surfaces en cuivre permettent d’éradiquer 90 à 100% des micro-organismes tels que le staphylocoque doré en milieu hospitalier.
Suite aux résultats d’études de laboratoire et de terrain menées au Royaume-Uni depuis 2007, et publiés dans le Journal of Hospital Infection ce mois, l’hôpital privé St Francis de Mullingar (Irlande) vient de remplacer toutes ses poignées de porte par des poignées en cuivre. Les propriétés antibactériennes de ce matériau seraient un fabuleux rempart contre les risques d’infections nosocomiales, encore trop souvent sources de décès en milieu hospitalier. « […] Puisque l’on estime que 80% des infections sont contractées par contact direct, limiter au maximum la présence de germes sur les poignées de porte permettra de réduire les risques de contamination », est convaincu le directeur général de l’hôpital St Francis et de sa maternité St Clair.
Exemple à suivre ?
Cette première mondiale pourrait faire des émules, et l’initiative de St Francis pourrait bientôt être imitée par d’autres établissements de santé, peut-être sur d\'autres supports (cf. diaporama). Alors qu’en 2008, l’Agence américaine de Protection de l’Environnement (EPA) a homologué le cuivre et ses alliages en tant qu’agents antimicrobiens capables de lutter contre certaines bactéries responsables d’infections potentiellement mortelles, l’utilisation du cuivre dans les lieux publics comme mesure sanitaire préventive est de plus en plus reconnue. Aujourd’hui, les premiers résultats de l’étude menée à l’hôpital universitaire de Birmingham révèlent que le nombre de germes pathogènes les plus fréquents est réduit de manière significative sur les surfaces contenant du cuivre : 90 à 100% de micro-organismes en moins par rapport aux mêmes surfaces de matériaux standards. Autre résultat intéressant : les staphylocoques dorés résistants à la méthicilline (SDRM) meurent au contact des surfaces en cuivre en moins de deux heures.
Rappelons qu’en France, 1 patient sur 20 contracte une maladie à l’hôpital qu’il n’avait pas en arrivant, soit environ 750.000 cas chaque année. Dans l’Union européenne, les maladies nosocomiales tuent 37.000 personnes par an (source : Inves, janvier 2007), indique le centre d’information du Cuivre.
(14/01/2010)>>
www.batiactu.com/edito/le-cuivre-pour-lutter-contre-les-maladies-nosocomi-24977.php
Trois architectes vont plancher sur l\'aménagement de la zone de Paris Le Bourget. Il s’agit de Christian de Portzamparc, Jean-Marie Duthilleul et Roland Castro.
«Christian de Portzamparc sera chargé de proposer un plan directeur d\'ensemble et une stratégie de mise en œuvre, Jean-Marie Duthilleul un plan général des déplacements et des mobilités à partir de l\'arrivée de la gare de la «double boucle» de métro automatique, et Roland Castro de réfléchir à la conception de nouveaux quartiers et des lieux majeurs du territoire», a indiqué le cabinet du secrétaire d\'Etat à la région capitale, Christian Blanc, à propos de la mise en place du projet d’aménagement de la zone de Paris Le Bourget. Les cartes sont donc distribuées.
Quant à la maîtrise d\'ouvrage de ces travaux, elle sera assurée par la communauté d\'agglomération de l\'aéroport du Bourget qui regroupe les communes du Bourget, de Drancy et de Dugny, en association avec les villes du Blanc Mesnil et de Bonneuil en France, précise le secrétariat d\'Etat.
L’objectif final de ce projet est d’être «la porte d\'entrée urbaine nord de l\'agglomération capitale».
(11/01/2010)>>
www.batiactu.com/edito/trois-architectes-vont-reflechir-a-l-amenagement-d-24935.php
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